Management : les 3 qualités pour être un bon manager !
De nombreux métiers contemporains ont émergé grâce à l’évolution du cadre hiérarchique des sociétés. Autrefois rigides et peu réactifs, les organigrammes sont au aujourd’hui évolutifs et permettent à des profils hétéroclites d’accéder à des postes à haute responsabilité. Ainsi en est-il du métier de manager. Ce type de charge est en effet souvent attribuée à des collaborateurs pas toujours très diplômés mais qui font preuve d’une motivation et d’une implication fortes au sein de leur entreprise.
Si de plus en plus de managers sont issus de grandes écoles, il n’en reste pas moins que le métier est avant tout affaire de qualités humaines et d’ambition. Accéder à ce poste à responsabilité est souvent une marque de confiance accordée à un collaborateur consciencieux, capable par exemple de se former au métier de son propre chef. Cependant les profils qui réussissent dans ce domaine sont assez spécifiques et comportent un certain nombre de tendances récurrentes. Voici donc les 3 qualités pour être un bon manager !
La positivité, première des qualités pour être un bon manager
Le métier de manager s’appuie sur un triptyque de compétences qu’il est indispensable d’étudier lors d’une formation en management comme celle proposée par l’Ecole Française. D’abord, une certaine expérience du milieu dans lequel il évolue pour comprendre les attentes et les besoins de ses collaborateurs et y répondre avec précision. Il doit ensuite disposer d’un certain nombre de connaissances communicationnelles pour adapter son discours à des situations ou des profils variés. Mais surtout il doit être exemplaire et afficher un comportement toujours égal.
Être positif en toutes circonstances, c’est déjà donner une direction de travail à son équipe. Première des qualités pour être un bon manager, la positivité permet d’insuffler la motivation et l’esprit d’équipe nécessaire à la réussite de tout projet collectif. Il doit donc savoir gérer son stress pour ne pas le communiquer à ses collaborateurs et être capable de mettre de côté ses problèmes personnels pendant son temps de présence en entreprise.
Un manager pragmatique et efficace
En tant que lien permanent entre la direction et son équipe, le manager se doit d’être un vecteur de transmission efficace entre les grandes orientations commerciales de son entreprise et les personnels qui l’appliquent. Parmi les incontournables qualités pour être un bon manager, il lui faut donc être pragmatique pour savoir prendre des décisions, parfois difficiles, et maintenir le cap vers la réussite du projet commun. Le leadership est en effet un trait de caractère indispensable au manager.
Son métier le place face à des situations où on lui demande de répondre rapidement à un problème. Que cette demande vienne de collaborateurs subordonnés ou de la direction, il doit être capable de réagir vite et de choisir une stratégie qui permette d’atteindre les buts fixés tout en conservant l’unicité de son équipe. Chacune de ses décisions doit donc prendre en compte les contraintes réelles et toujours avoir pour but d’impacter positivement l’activité de l’entreprise.
Savoir communiquer en toutes circonstances
Autre point important parmi les qualités pour être un bon manager : la communication. Savoir adapter sa communication demande une grande aisance relationnelle, et cela tant dans les moments de réussite que lors de l’apparition de difficultés. Le manager doit être capable de féliciter un individu en particulier ou une équipe pour son travail mais il doit être tout aussi prêt à recadrer un employé pour un travail insuffisant. D’un autre côté, il doit aussi être en mesure de faire remonter les mécontentements de son équipe vers les échelons supérieurs.
Un bon manager se doit donc d’être courageux dans sa communication. Pour montrer l’exemple et offrir un espace à l’expression libre, toujours plus efficace pour souder les équipes, il doit accepter la critique et savoir en tenir compte. Le manager est en effet au service de son équipe, autant qu’aux intérêts de l’entreprise. Ce métier d’équilibriste consiste donc avant tout un défi permanent, dans lequel le facteur humain est central pour réussir.