Commerce international : la France dans les affaires économiques
La France, avec son économie développée, est l’un des pays les plus actifs du monde dans commerce mondial. Après la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement français a vu que des liens plus étroits avec les Allemands lui apporteraient la sécurité politique, de l’indépendance et une plus grande force économique. Ainsi, la Communauté européenne du charbon et de l’acier a été formée. Ce qui a amené les 2 pays et d’autres nations européennes en un organe consultatif pour discuter de la production d’acier et de charbon.
L’état dans les affaires économiques
L’UE, que la France a contribué à créer, l’a aidée à réduire l’intervention de l’état dans les affaires économiques en privatisant plusieurs industries. En 1992, le traité de Maastricht a été signé et a marqué un tournant décisif dans l’entrée de l’Europe dans le domaine politique et économique et syndicale D’un point de vue pratique, la réduction des obstacles au commerce et la diminution des restrictions que l’intégration a ouvert les portes au français produits à vendre dans de nombreux pays européens et a permis d’élargir la gamme de produits et des commercialiser dans de nombreux pays européens. La libre circulation des capitaux en Europe, dont l’ensemble a bénéficié à la France. L’inconvénient, c’est que la France, partageant un commerce et des tarifs douaniers communs.
avec le reste des pays de l’UE, a discuté de l’érection d’un système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de serre et des barrières commerciales à l’encontre des entreprises et des produits non communautaires.
L’Union européenne érige des barrières commerciales aux biens et aux entreprises étrangers. L’UE a clairement indiqué qu’elle érigerait de telles barrières dans les cas suivants : la santé, la sécurité et l’environnement, par exemple.
Les exportations de la France face aux premières économies
La art de la France dans les exportations des dix premières économies mondiales était de 9,3 % en 1997, de 9,8 % en 1998 et de 9,4 % en 1999, la plaçant au quatrième rang derrière les États-Unis, l’Allemagne et le Japon. La France est également le quatrième exportateur mondial avec plus de 5 % des exportations françaises. La France est le deuxième pays du monde en termes d’exportation de produits agricoles et de services, dont le tourisme et les transactions financières. Sur le marché des biens durables, la France se classe au quatrième rang des exportations mondiales. Les plus grands partenaires commerciaux de la France sont membres de l’UE, avec laquelle la France a bénéficié d’un commerce global de 79 milliards de francs en 1999. Les seuls pays de l’UE avec lesquels la France a un déficit commercial sont l’Allemagne et l’Italie. Il a également eu un commerce excédentaire auprès de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE, un groupe de pays qui promeut l’économie de marché et l’économie de marché) qui contribue au développement de l’économie de ses membres soit de 66 milliards de francs en 1999. Son déficit par rapport à certains pays d’Asie et la Russie peut être attribué aux crises économiques. Dans ces régions, ceci a entraîné une baisse de la demande pour les produits français.
Sur plus de 2 millions d’entreprises implantées en France, moins de 5 % prennent aux activités directement liées à l’exportation, selon le Département du Commerce Extérieur de la France. Bien que la plupart appartiennent à des Français, certains de ces sociétés sont sociétés multinationales. Des entreprises comme IBM, Michelin, Hewlett Packard et Daimler Benz sont parmi les 20 premiers exportateurs en France. Les 3 premiers exportateurs français étant PSA, Renault et Airbus Industrie. Les 20 premières entreprises exportent principalement des véhicules et des articles tels que des pneus, des avions, de l’électricité, des fournitures de bureau, des produits en plastique, de l’équipement industriel, des produits alimentaires, de l’informatique, des produits pharmaceutiques et chimiques, etc.
Les exportations françaises
Les 4 premiers exportateurs représentent 10 % des exportations françaises, ce qui correspond à plus que ce que les 100 000 entreprises de plus petite taille qui viendront s’ajouter à l’effectif de l’industrie. Les 10 premiers exportateurs contribuent pour 15 pour cent des exportations, tandis que les 10 premiers 35 %. Étant donné que certaines de ces entreprises sont actives dans plus d’une zone de production et opèrent généralement sous le contrôle de noms différents en utilisant des filiales, la contribution réelle de la plus grande.
Seules 10 entreprises représentent probablement la moitié des exportations totales de la France. Par conséquent, même s’ils ne figurent pas dans la liste des grands exportateurs, certains conglomérats, comme Alcatel-Alsthom, comptent parmi les plus importants exportateurs.
La contribution des petites entreprises à l’exportation française est en hausse depuis 1990. Près de la moitié des exportations totales de biens et de services ont été produits par des entreprises dont la production se situait quelque part entre 10 à 499 employés. Ces types d’entreprises sont appelées petites et moyennes entreprises.
Les entreprises qui embauchent moins de 10 personnes sont appelées Très Petites entreprises (TPE). Les étrangers contrôlent environ 27 pour cent des PME dans le monde. France et environ 33 pour cent des TPE. Les PME se concentrent dans l’agriculture et les produits tels l’agroalimentaire et les biens de consommation (le papier et le cuir).
Le pétrole est en tête de liste des importations françaises. En 1997, les produits pétroliers représentaient 4,64% de toutes les importations. Le gaz naturel est également un produit d’importation important. Diverses pièces détachées automobiles, dont certaines proviennent d’entreprises françaises implantées à l’étranger, sont également présentes dans liste d’achats de la France.
Les investissements étrangers en France
Les investissements étrangers en France n’ont cessé d’augmenter depuis 1990. Les investissements direct étrangers en France, sous forme d’expansion ou de création d’entreprise a créé plus de 31 000 nouveaux emplois en 1999, en hausse de 8 p. 100 par rapport à son niveau de 1999. Cette évolution s’explique sans doute par la présence d’une main d’œuvre qualifiée en France combinée aux efforts du gouvernement pour faire de la France un pays plus sûr et plus sûr et attractif pour les investisseurs étrangers. Environ 29% de l’ensemble des emplois liés à l’investissement créés en 1999 sont attribuables à l’embauche aux États-Unis et au Canada. Viennent ensuite les investisseurs allemands et es secteurs des technologies de l’information et des communications ont créé 15% des nouveaux emplois. Une tendance similaire a été observée dans les secteurs des consultants et des services, y compris les centres d’appels et la logistique, qui représentent 13% de l’activité de l’emploi. La France est le quatrième plus grand récepteur mondial des investissements internationaux.
Prendre conscience de l’importance d’opérer dans le pays où le marché est le plus actif c’est que les entreprises françaises ont étendu leur présence à l’étranger. Les entreprises françaises entreprises ont établi une présence importante dans d’autres pays qui s’élevait à 239,7 milliards de francs en 1998. La France est un exportateur net d’investissements directs en capital vers le reste du monde. Le solde des exportations et les importations d’investissements directs en capital ont presque doublé en 1997 par rapport à sa valeur de 1996 et n’a pas beaucoup changé en 1998, s’établissant à 74,4 milliards de francs. Ce taux s’explique en grande partie par l’augmentation du volume d’activités des investissements direct étrangers en France, dans l’ensemble, a été remarquable.
Par rapport au déficit de 112,3 milliards de francs enregistré en 1990. Les économies émergentes sont une autre raison pour laquelle la capitale française a choisi de profiter des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Mais malgré de nouveaux investissements dans les pays en développement, les deux tiers du capital français en 1998 ont été investis dans l’UE et les deux tiers dans l’Union européenne.
Je trouve ça impeccable et inspirant pour nos pays d’Afrique !